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C’est le nouvel événement que vous proposent les Éditions de l’Institut du Tout-Monde en ce mois de février 2022 : la parution, au sein de notre collection « Roman », d’un ouvrage pour le moins atypique dans le paysage littéraire d’aujourd’hui. En un conte philosophique à la fois foisonnant et mystérieux, Marlène Parize-Valdor, auteur en 2009 de l’essai très remarqué La part de l’autre – De la maïeutique créole, nous entraîne dans un vaste panorama qui est aussi un chemin initiatique.
En liant les soubassements de la culture créole aux savoirs des plus anciennes civilisations et des plus vieux mythes du monde, Atoumo, qui cultive son jardin en un art consommé de sagesse, pense le monde et se confronte au temps présent et aux temps immémoriaux des humanités. Alètheia, c’est avant tout ce voyage vertigineux auquel nous convie Marlène Parize-Valdor : en deux temps (L’art du jardin puis Le Cahier d’Atoumo), l’auteur va lever les voiles d’une énigme qui porte en elle le cours de l’histoire, la quête des identités et les méandres de la mémoire.
Tour de force, exercice de style ? La voix véritable de ce livre est ailleurs, et dans une parole qui s’adresse à chacun de nous, détenteur sans le savoir de l’alètheia : quand l’infiniment grand des temps rejoint l’infiniment personnel de l’intime, connaître les mystères du monde, c’est avant tout se connaître soi-même.

372 pages

Les Cahiers du Tout-Monde émanent des travaux du Centre international d’études Édouard Glissant, fondé en octobre 2018 au sein de l’Institut du Tout-Monde. La revue vise le renouvellement du discours critique porté autour de l’œuvre de Glissant. Il s’agit autant que possible d’animer la recherche glissantienne dans une intention d’approfondissement de la connaissance de l’œuvre, tout en se gardant de l’esprit de chapelles qui mine trop souvent l’étude de la littérature. Ces Cahiers du Tout-Monde tâchent de conserver et de prolonger l’esprit d’ouverture et de vigie qu’a manifesté Édouard Glissant tout au long de son activité littéraire et de son engagement intellectuel, en faisant nôtre l’injonction qui fut constamment la sienne, de «penser avec le monde».
Ce premier numéro de la revue propose les actes augmentés de la session 2018-2019 du Séminaire de l’Institut du Tout-Monde, qui avait été consacrée aux « Présences d’Édouard Glissant ». Des études de Corinne Mencé-Caster, Sam Coombes, Christian Uwe, Michael Wiedorn, Loïc Céry, Serge Palin et des entretiens avec Sylvie Glissant, Juliette Éloi-Blézès, Federica Matta, Jean-Pierre Salgas.
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84 pages
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Nous sommes très heureux de vous annoncer la parution d’un tout nouveau titre au sein de la collection « Poésie » des Éditions de l’Institut du Tout-Monde : Les Magnétites de Hugo Rousselin.
Les Magnétites est le deuxième recueil d’Hugo Rousselin, fruit de dix ans de déambulation dans ce Tout-Monde qui lui est cher. Les pierres magnétites sont historiquement les premières aiguilles des boussoles.
Sans doute est-ce cela qui se cherche dans l’espace de ce recueil ; un lieu où la poésie permet de ne pas perdre le Nord, de ne pas oublier ses pôles intérieurs. Un lieu où les poèmes sont forces sensibles aiguillant une lucidité.
RAPPEL POUR LES LIBRAIRES : Comme pour nos autres publications, vous pouvez passer commande en bénéficiant de votre remise professionnelle, directement auprès de notre distributeur, à partir de l’encart qui vous est spécialement réservé sur la page de la publication sur le site de Pumbo.
Le livre est d’ores et déjà disponible sur le site de notre distributeur Pumbo (lien ci-dessous) et sera disponible sur les plateformes numériques (Amazon et La Fnac) dans quelques jours, ainsi que sur commande en librairie.

Préface d’Olivier Douville
Nous sommes très heureux de vous annoncer la parution du tout premier roman édité par les Éditions de l’Institut du Tout-Monde, La Trace. Agouzou, femme esclave, de Monique Arien-Carrère. [Éditions de l’Institut du Tout-Monde, coll. « Roman » dirigée par Sylvie Glissant et François Vitrani. Janvier 2021.]
Un livre important selon nous, car La Trace constituera en soi un jalon dans la mémoire contemporaine de l’esclavage, étant donné que le livre est le premier récit littéraire écrit autour de cette expérience singulière qu’a été pour des milliers de descendants, la recherche puis la découverte dans les archives antillaises, de l’acte d’individualité de l’ancêtre, « nommé » par l’état civil après l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises en 1848. C’est le récit d’une destinée, où l’histoire rejoint et éclaire les désordres et les tabous du présent.

Les Éditions La Découverte et les Éditions de l’Institut du Tout-Monde vous proposent la première édition en un seul volume des manifestes écrits par Édouard Glissant et Patrick Chamoiseau (et pour deux d’entre eux, cosignés avec des collectifs d’intellectuels) entre 2000 et 2009, sous le titre « MANIFESTES ». Parution le 4 février 2021.
« Il n’y a de puissance que dans la Relation, et cette puissance est celle de tous. Toute politique sera ainsi estimée à son intensité en Relation. Et il y a plus de chemins et d’horizons dans le tremblement et la fragilité que dans la toute-force. »
Cet ouvrage rassemble pour la première fois six textes : De loin…, Dean est passé. Il faut renaître. Aprézan !, Quand les murs tombent et L’intraitable beauté du monde coécrits par Patrick Chamoiseau et Édouard Glissant ; et avec Ernest Breleur, Gérard Delver, Serge Domi, Bertène Juminer, Guillaume Pigeard de Gurbert, Olivier Portecop, Olivier Pulvar et Jean-Claude William le Manifeste pour un projet global et le Manifeste pour les « produits » de haute nécessité.
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Vent Rouge est un texte volcanique. Sa forme éruptive renvoie à une situation de bouleversement, de destruction et de dépossession. Comment dire l’absolu désordre, le gâchis intégral qu’est devenu le pays touareg dans un Sahara annexé, colonisé, irradié par les essais atomiques, dévasté par les entreprises minières, tronçonné par les frontières, cerné par les armées, les milices et les drones. Face à l’étranglement d’une population dont les ressources et les savoirs ont été anéantis, Hawad déchaîne son verbe furigraphique. Pour a ronter le cataclysme, il invente une poésie cataclysmique qui s’empare du chaos pour surmonter le chaos, « dard aiguille qui raccommode/ nos déchirures cratères/ de défaites hurlant/ jusqu’aux nuages ».
C’est avec grand plaisir que nous accueillons la première parution « littéraire » des Éditions de l’Institut du Tout-Monde. Avec l’ouvrage Vent Rouge du poète et peintre touareg Hawad, nous inaugurons avec enthousiasme notre collection « Poésie ».
Comme pour les deux volumes d’actes de colloques (voir ci-dessous), les stocks étant actuellement en constitution vers les grandes plateformes numériques (Amazon et La Fnac), l’ouvrage est d’ores et déjà disponible sur le site boutique de notre distributeur Pumbo (voir lien à gauche).
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Textes réunis et présentés par Loïc Céry. Préface de Sylvie Glissant
Les actes ici réunis proviennent du colloque international « Saint-John Perse, Aimé Césaire, Édouard Glissant : regards croisés » organisé par l’Institut du Tout-Monde sous le haut patronage de l’UNESCO, qui s’est tenu à Paris en septembre 2012 à l’UNESCO, la BnF et la Maison de l’Amérique latine. Ce colloque avait pour objet une approche comparatiste des œuvres de Saint-John Perse, Césaire et Glissant : une appréhension des « regards croisés » liant ces trois figures tutélaires de la littérature du XXe siècle. Une mise en regard jusqu’alors inédite de paroles poétiques ayant essaimé en rhizomes de visions anticipatrices du monde. Nous avions visé un renouvellement des lectures, soucieuses des pluralités comme des conjonctions de poétiques qui ont visé haut dans la reformulation de l’humanisme pour notre temps. Le colloque a été l’occasion d’emprunter cette approche comparatiste, ouverte sur les ferments d’une parole vive portée par trois génies de la littérature. Cette démarche aura consisté à désenclaver les discours critiques portés sur ces trois poètes, en favorisant leurs potentielles complémentarités. Lire Saint-John Perse, Aimé Césaire et Édouard Glissant en coprésence, c’était aussi envisager le dialogue des œuvres, en des lieux insoupçonnés de dissymétries, mais aussi de connivences et de Relation où en effet se croisent les regards.
Avec des études de : Patrick Chamoiseau, Sylvie Glissant, Bernadette Cailler, Roger Little, Edwy Plenel, Évelyne Lloze, Ernest Pépin, Roger Toumson, Jean Khalfa, Lilyan Kesteloot, Pierre Bouvier, Alexandre Leupin, Elisabeth Mudimbe-Boyi, Raphaël Lauro, Victoria Famin, Buata Malela, Florian Alix, Loïc Céry, Radu Petrescu, Samia Kassab-Charfi, J. Michael Dash, Catherine Delpech-Hellsten, Michèle Constans / Enilce Albergaria Rocha, Lise Gauvin, Lilian Pestre de Almeida, Caroline Soukaï, Christian Uwe, Jacques Leenhardt, Christine Januel, Jean-Luc Tamby.
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Paris (FMSH – Maison de l’Amérique latine) 25-28 avril 2019, Université de Cambridge (Magdalene College) 15 juin 2019, Université des Antilles (Martinique, Guadeloupe) 5-6 novembre 2019
Textes réunis et présentés par Sylvie Glissant, Loïc Céry, Hugues Azérad, Dominique Aurélia, Laura Carvigan-Cassin
En octobre 2018, l’Institut du Tout-Monde fonde le Centre international d’études Édouard Glissant (CIEEG). Premier acte de recherche d’envergure : la tenue d’un colloque « diffracté » en trois sessions : « Édouard Glissant et Le Discours antillais : la source et le delta ». Première session, du 25 au 28 avril 2019 à Paris, FMSH et Maison de l’Amérique latine. Pour la deuxième session, l’ITM s’est associé à l’Université de Cambridge, Magdalene College (journée d’étude « Le cri et la parole »), le 15 juin 2019. Et pour la troisième session, à l’Université des Antilles (pôles Martinique et Guadeloupe) les 5 et 6 novembre 2019. Il s’agissait de consacrer à l’essai à ce jour le plus lu, le plus traduit et le plus étudié par le monde au sein de l’œuvre conceptuelle d’Édouard Glissant (Le Discours antillais, paru aux Éditions du Seuil en 1981) une réflexion réellement internationale, qui aura su puiser dans la diversité de trois lieux du monde, un enrichissement réel des regards.
La fortune critique qu’a connu et que connaît encore Le Discours antillais quant à la réception de l’œuvre conceptuelle d’Édouard Glissant doit certainement beaucoup à l’allure exhaustive de l’étude qui vise une exploration du réel, sous l’épigraphe de Frantz Fanon. Cet aspect continue d’attirer l’attention sur l’ampleur de la tâche que s’était alors assignée Édouard Glissant. Les propositions que déploie l’ouvrage nous apparaissent maintenant au regard de l’ensemble de son œuvre, comme des éléments de la vaste poétique mise en réseau et en rhizomes par un penseur exigeant et un écrivain attentif à la complexité. Relire Le Discours antillais aujourd’hui, c’est aussi être attentif à notre tour à la vigueur d’une pensée émancipatrice, pour notre temps et pour nos horizons.
Avec des études de : Jacques Coursil, Elena Pessini, Jean-Pol Madou, Raphaël Lauro, Axel Arthéron, Serge Domi, Buata Malela, Olivier Douville, Loïc Céry, Bernadette Desorbay, Christian Uwe, Beate Thill, Animesh Rai, Takayuki Nakamura, Niklas Plaezer, Javier Burdman, Juliette Éloi-Blézès, Caroline Soukaï, Sam Coombes, Yves Chemla, Gilles Verpraet, Pierre Carpentier, Federica Matta, Sylvie Glissant, Jacques Leenhardt, Marie-José Mondzain, Bernadette Cailler, Chase Atherton, Émilie Yaouanq / Jean-Luc Tamby, Lise Gauvin, Christine Raguet, Roger Toumson, Giuseppe Sofo, Jeanne Jégousso, Jean Bessière, Adelaïde Russo, Daniel-Henri Pageaux, Laura Carvigan-Cassin, Manuel Norvat.
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I – ÉTUDE CRITIQUE : PREMIER TOME
Rassembler les mémoires
L’ouvrage en trois volumes propose une étude critique et une anthologie commentée de l’ensemble des textes consacrés par Édouard Glissant aux questions de l’histoire et des mémoires de l’esclavage. Prenant en compte les différents genres pratiqués par l’écrivain (essai, roman, poésie, théâtre), ces textes sont pour la première fois étudiés dans leur intégralité (volumes 1 et 2 : étude critique), impliquant une pensée capitale et une représentation plurielle de l’esclavage. L’anthologie commentée (volume 3) rassemble des extraits significatifs de ces textes.
Dans ce premier volume (premier temps de l’étude critique), il s’agit autant de rendre compte d’une pensée déterminante de l’histoire où Glissant prône un « rassemblement des mémoires » et une « impétuosité de la connaissance », que de rassembler les mémoires de l’œuvre elle-même, dans son foisonnement et son éminente précision.
Cette édition répond au besoin qui se fait sentir depuis plusieurs années, tout à la fois d’une mise en perspective raisonnée à propos du regard porté par Édouard Glissant sur l’esclavage tout au long de son œuvre (relevant d’une véritable « matrice » de ses écrits), et d’une sélection représentative des lieux clés de cette œuvre portant trace d’une réflexion et d’une représentation amples autour de ces questions, sur plus de cinquante ans de création. Une pensée qui nous est plus que jamais indispensable aujourd’hui, partout dans le monde.
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II. ÉTUDE CRITIQUE : SECOND TOME
Renverser les gouffres
Dans ce deuxième volume (second temps de l’étude critique), sont envisagées les modalités selon lesquelles Édouard Glissant formule une pensée inédite de l’histoire et une éthique de la mémoire qui visent à renverser les gouffres issus de la traite et de l’esclavage.
Loïc Céry dirige le Centre international d’études Édouard Glissant (CIEEG) et la revue Les Cahiers du Tout-Monde à l’Institut du Tout-Monde (fondé par Édouard Glissant à Paris en 2006). Il y coordonne par ailleurs le pôle numérique ainsi que les cycles pluridisciplinaires « Traduction » et « Penser la Caraïbe, penser le monde » en partenariat avec la FMSH. Spécialiste de Saint-John Perse et d’Édouard Glissant, il a fondé la revue La nouvelle anabase en 2006.
Voir sur Outremers360, Entretien en deux parties avec Loïc Céry : PREMIÈRE PARTIE, DEUXIÈME PARTIE
Et aussi, entretien sur le Portail des Outre-mer de France Televisions :

Avec des études de : Christiane Taubira, Benjamin Stora, Michel Deguy, Bénamar Médiène, Abdelwahab Meddeb, Esther Tellerman, Catherine Delpech-Hellsten, Raphaël Lauro, Edwy Plenel, Samia Kassab-Charfi, Daniel-Henri Pageaux, Manthia Diawara, Zineb Ali Benali, Matthieu Renault, Danièle Perrot-Corpet, Alice Cherki, Jacques Coursil, Kadhim Jihad Hassan, Jean Khalfa, Nicole Lapierre, Jean-Michel Martial, Victor Martinez, Éric Vinceno, Aliocha Wald-Lasowski.


Franz Fanon, Kateb Yacine et Édouard Glissant sont de la même génération : de celle qui fit l’épreuve longue et désastreuse du passage d’un monde vers un autre ; de celle qui vécut, en prolongement de l’esclavage, les affres de la domination, du racisme, des guerres, et les redistributions plus insidieuses et bien orchestrées des cartes néocoloniales. Aujourd’hui, en considérant avec recul ce que ces trois acteurs, penseurs et passeurs de la désaliénation des peuples ont accompli, jusqu’à la transition vers le vingt-et-unième siècle pour ce qui concerne Édouard Glissant, on lit comme une évidence l’alliance rare de deux qualités qu’ils avaient en commun : Fanon, Kateb et Glissant était de la trempe à la fois des libres penseurs et des hommes de terrain. Cette pensée pragmatique dictait en eux la nécessité de confronter le concept au champ concret. Farouchement indépendants, ils étaient tous trois intimement certains que rien ne changerait sans un travail de fond avec les peuples dans leur lieu et en relation avec la totalité-monde. Leur projet artistique et poétique, leur action culturelle et intellectuelle se sont toujours distanciés du confinement confortable des salons et des cercles ; chacun s’est attelé sans relâche à désobstruer, sans violence mais sans concession, les orientations qu’ils jugeaient inopérantes, insuffisantes ou inadéquates : avec eux pas de non-dit ni d’angélisme, pas de faux-semblants. Le moins qu’on leur doive aujourd’hui, éthiquement, eu égard à ce combat qu’ils ont mené pour tous et avec tous, est d’ouvrir le champ d’une lecture neuve, dynamique et croisée de leur œuvre… Une exégèse dégagée des fureurs civiques et politiques, et qui dans ses différents axes posera comme priorité de renouer avec l’intention profonde de chacun d’eux ; de pointer les récupérations politiques, les dérives d’interprétations, les classifications restrictives qui ont pu être faites par le passé ; de retrouver le sens de ce que ces trois voix tutélaires nous ont apporté : un savoir-faire et un savoir-lire et vivre le monde que nous tâcherons aujourd’hui de redéfinir.